Oui, tu les as plantés
et ils ont pris racine ;
ils progressent sans cesse
et ils portent du fruit.
Ils ont ton nom à la bouche,
mais tu es très loin de leur cœur.
Mais toi, ô Eternel, |tu me connais et tu me vois,
et tu sondes mon cœur |qui a pris ton parti[a].
Entraîne-les, |tout comme des moutons |qu’on mène à l’abattoir !
Réserve-les, |pour le jour du massacre !

Jusques à quand |le pays sera-t-il en deuil,
et l’herbe des campagnes |se desséchera-t-elle ?
Et tout cela à cause |de la méchanceté |de ceux qui y habitent ?
Les animaux périssent, |ainsi que les oiseaux,
parce que les gens disent :
« L’Eternel ne voit pas |ce qui nous adviendra. »
Mais l’Eternel me dit :

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Footnotes

  1. 12.3 Autre traduction : tu sondes mes pensées à ton sujet.